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La revanche de l’homme blanc qui se sent marginalisé

Si Trump a contribué

à libérer la parole raciste et flatté le suprémacisme blanc,

il n’a pas rendu directement la vie plus dure aux Afro-Américains.

Du moins pas plus que ses prédécesseurs…

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Cheffe adjointe au service Monde Temps de lecture: 5 min

Pourquoi toutes ces personnes originaires de pays de merde viennent ici ? » à l’adresse d’Haïti. « Renvoyez-les dans leur pays », en pointant Ilhan Omar, sénatrice noire. « Il y avait des gens très bien dans les deux camps », en référence aux confrontations entre militants suprémacistes et anti-racistes. Nous avons parfois tendance à l’oublier, puisqu’en quatre ans d’outrances verbales, nous nous sommes habitués, mais le président des Etats-Unis est raciste. Du moins, sa parole l’est, et c’est indéniable.

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