
Un impôt minimum « mondial » pour les sociétés. L’affaire n’est pas gagnée, mais l’accord scellé par le G7 Finance ce week-end à Londres n’en est pas moins symboliquement fort. Un triple symbole en fait du « monde d’après ».
Le monde d’après-Trump d’abord et avant tout, car le nouveau président des États-Unis a joué le rôle moteur dans la mise à l’agenda mondial de cet impôt mondial minimum, de même que dans l’obtention d’un accord entre les ministres des Finances des sept puissances occidentales. Et donc, ce lundi, on dit merci à Joe Biden. Le G7 n’est plus hors jeu et ce n’est plus « America First » mais « Job First » qui sert de mantra. Cela fait a hell of a différence comme ils disent là-bas.

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