Accueil

Il était une fois

dans la bande dessinée

Craquer l’allumette de « Revanche », c’est courir le risque de se débarrasser de son âme. Alex Baladi signe

un western noir, couleur terre brûlée.

Article réservé aux abonnés
Chef du service Culture Temps de lecture: 3 min

Cousin Dalton de Robert Crumb, le Suisse Alex Baladi a pris ses premières leçons de morale dans Le Trésor du lac d’argent de Winnetou et Les Mystères de l’Ouest de James West. Mais c’est Mon nom est personne, qui a ouvert l’adolescent à la beauté ténébreuse du Far West. Dans son nouveau roman graphique, Revanche, l’auteur explose les cadrages, dramatise les silences et arrache des larmes de plomb à son crayon pour mettre en scène ce qui ressemble à un braquage de banque façon Sergio Leone.

Fine gâchette, son bandit est derrière les barreaux, le nez abîmé, l’œil en cocard. Il se serait rendu, alors qu’il n’existe pas un cow-boy plus rapide que lui, ni de la main droite, ni de la main gauche. Ce geste laisse le shérif perplexe, à raison…

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info
La UneLe fil info Partager

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs