ne rencontre pas encore l’ampleur
de celle à laquelle
sont confrontés
les Etats-Unis.
Il n’empêche, elles sont plus nombreuses, surtout chez les jeunes.

Les Américains l’ont baptisée the « Great Resignation », littéralement la « Grande Démission ». Un nom choisi pour qualifier la vague de démissions volontaires qui déferle sur les Etats-Unis depuis le début de la pandémie de coronavirus. Quelque 48 millions de travailleurs auraient ainsi choisi de quitter leur emploi outre-Atlantique depuis mars 2020. Ce phénomène fait-il déjà tache d’huile en Europe, et plus spécifiquement chez nous, en Belgique ? « Dans un sens, oui, mais pas avec une telle ampleur », estime Laurent Taskin, professeur de management à l’UCLouvain.

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