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« La colère des supporters, c’est l’histoire d’une identité sociale finalement déçue »

Les Diables rouges nous ont habitués à gagner.

Ils ont alimenté ainsi

un processus

d’identité sociale

dans l’effervescence collective. Jusqu’à la défaite et au désamour que celle-ci provoque

chez certains supporters. Mais

le souvenir des bons moments reviendra. C’est une question

de temps.

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Journaliste au service Forum Temps de lecture: 7 min

La tristesse, la frustration, le mépris, la colère. La gamme des émotions a viré au sombre chez les supporters après la défaite des Diables rouges face à la Croatie. Au point que certains en oublieraient la folle passion qu’ils ont vécue avec cette génération dorée, aujourd’hui vouée aux gémonies. Ingrat, le supporter ? Oublieux, le pays qui s’est glorifié tant de fois de posséder la « meilleure équipe du monde » ? En foot comme en bien d’autres domaines, nous aimons brûler ce que nous avons adoré.

Jessica Morton est doctorante en psychologie sociale et de la santé à l’UCLouvain. Elle livre ici une série de pistes pour comprendre le désamour qui s’est installé entre les Diables rouges et une partie de leurs supporters.

Brûler ce que l’on a aimé parfois follement, c’est le propre de l’humain ?

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