Accueil

Le Giro lui est-il aussi favorable que la Vuelta ?

Article réservé aux abonnés
Temps de lecture: 2 min

Cela passera en effet par une victoire mais, chaque chose en son temps, d’abord à Liège. Où il croisera le fer avec Pogacar, absent l’année dernière suite au décès de sa belle-mère. Ce sera le deuxième duel (en 2023) entre les deux hommes après le Tour d’UAE, une obligation pour le Slovène, qui court sous casaque émiratie, une première pour Evenepoel dans la foulée du Tour de San Juan.

« J’ai choisi un programme avec la continuité au soleil, après je partirai en stage, toujours au soleil, c’est cohérent pour reprendre en Catalogne. » Après quoi un nouveau stage pour défendre son titre en Ardenne avec le maximum de fraîcheur. « Cette formule a bien fonctionné avant la Clasica et la Vuelta, je mise sur les mêmes principes avant Liège et le Giro. » Qui est plus dur que le Tour d’Espagne, ne fût-ce que par ses variations climatiques, ses routes en nettement moins bon état, ses cols d’une longueur infinie dans les Dolomites, sa tension plus sévère dans les étapes de plaine où les sprinteurs se font la bourre et font prendre des risques aux autres.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info
La UneLe fil info Partager

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs