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Carte blanche : Femmes musulmanes, foulard et engagement public

Un collectif de professeurs d’université

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Temps de lecture: 5 min

Le port du foulard par des jeunes filles musulmanes a déjà suscité de nombreux débats passionnés en ce qui concerne l’enseignement. La polémique s’étend à présent à d’autres domaines de la vie publique : assemblées élues, conseils d’administration d’institutions ou d’organismes d’intérêt public.

Le propos de cette intervention n’est pas de chercher à répondre à la question de savoir s’il est souhaitable ou non d’autoriser le port du foulard dans ces lieux. Les polémiques soulevées sur ce point peuvent difficilement être apaisées par la simple convocation des principes fondateurs de la démocratie libérale (séparation de l’Eglise et de l’Etat, libertés de culte).

Entre le respect des principes hérités de notre tradition démocratique et les nécessités de gestion du pluralisme culturel et religieux, doit pouvoir se constituer un espace de négociation pour des questions comme le port du foulard.

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