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Portrait d'un golden boy... d'hier

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 3 min

Portrait d'un golden boy... d'hier

FABIENNE BRADFER

DEAUVILLE

Producteur du « Parrain », « Chinatown », « Love story », « Rosemary baby », « Marathon man »... , Robert Evans est à Hollywood ce que le lion est à Waterloo. Figure de légende, survivant de tous les excès (cocaïne, sexe, dépression), il a connu les hauts et les bas. Il s'est offert des ascensions vertigineuses comme des plongeons abyssaux. Au bout d'une vie bien remplie et toujours active, visage figé par un paralysie il y a 5 ans mais tenant toujours de jolies jeunes femmes à son bras, Robert Evans, 72 ans, est une mémoire vivante d'Hollywood, celui détaillé dans « Le nouvel Hollywood », de Peter Biskind. Sa vie de cinéma confirme ses passions : l'illusion, la fantaisie, l'amour. Il aime dire : Je me suis longtemps cru immortel jusqu'à ce que je reçoive des coups mortels...

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