Pour (bonne) mémoire: à l'époque de Belgacom/Bellens, à propos des rétributions démesurées, Paul Magnette décréta le "Secret région" sur les rétributions de Tecteo (.....devenue Publiufin et co....), déclarant "Les rétributions sont connues par qui doit les connaitre et pas pour tout le monde". Fin de citation. Voir archives de "le soir" pour confirmation. Donc....on ne peut pas le definir "Mister Propre", n'est ce pas?
Superficiel, tout ça! Il faut un changement profond, structurel, à commencer par le mode de fonctionnement même du parti, qui doit devenir transparent, sans quoi ce seront toujours les mêmes qui tireront les ficelles dans l'ombre. D'où croyez-vous que viennent ces scandales et comment croyez-vous que ces situations ont pu se développer? Moi, je pense qu'il ne faut attendre aucune avancée dans la bonne direction, d'un parti au mode de fonctionnement aussi anti-démocratique que le PS.
David Coppi fut précédemment porte-parole de Philippe Busquin. Manifestement, son militantisme perdure. Et Le Soir fait semblant de ne pas le voir !
J'ai peur des "chevaliers blancs" en politique : des idéologues prétendument sans taches et sans attaches, soucieux UNIQUEMENT de l'avènement d'un "monde meilleur" (à leur façon). Le premier qui me vient à l'esprit c'est Robespierre :-(( Les femmes et les hommes ne sont pas ainsi faits. La renaissance (ou la transformation) d'un parti qui a rendu de grands services par le passé est une absolue nécessité tout comme son retrait du pouvoir absolu qu'il exerce aussi. Mais le renouveau ne naîtra pas "ex-nihilo". Je ne pense pas que les journalistes incriminés sont à ce point intoxiqués par le PS pour ne pas conserver leur esprit critique. J'imagine qu'il y aura d'autres articles qui étayeront ou infirmeront ce qui n'est jamais qu'une hypothèse porteuse d'espoir pour la gauche.
Le Soir nous livre au quotidien des analyses politiques. Celle-ci en est une. Qu'elle aille à contre-courant de la "chasse aux sorcières socialistes" est une excellente chose. Dans tout ce "noir" (rouge en fait) il y a un peu blanc. Détecter les "lueurs d'espoir", les prises de conscience fait partie du journalisme politique. On ne peut pas reprocher au Soir de manquer de vigueur et de clairvoyance dans l'affaire Publifin par exemple. On ne peut pas lui reprocher non-plus d'aller voir ce qu'il y a au-delà et ce que pourrait être demain le "NewPS".
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