Cette carte blanche incite à la discrimination, est un procès d'intention envers un groupe d'individus et une atteinte à la liberté des opinions. Si c'est la nouvelle civilisation annoncée, vous pouvez vous la garder.
La phrase suivante, dont l’idée est reprise ensuite, est énoncée avec suffisamment de généralité pour qu’on comprenne qu’elle vise l’ensemble des hommes, ou du moins à tous ceux qui n’adhèrent pas à l’opinion générale exprimée par les auteurs: « Pour les hommes, c’est open bar, ils peuvent se servir, ils sont les rois de la jungle et certains peuvent éventuellement asseoir ce statut en braconnant quelques femelles ». Clairement injurieux pour les hommes en général, de même que la contradiction évoquée plus bas : « De facto, « ils » font partie du problème ( du problème réel des actes de harcèlement et des viols () (…) le silence est une complicité qui range son auteur dans le camp des plus forts » Tout aussi clairement, ne pas se ranger au militantisme revendiqué revient à se rendre complice. De quels actes ? Désigner quelqu’un comme complice, c’est une accusation, et dans notre civilisation , jusqu’ici, on accuse sur base de faits, pas comme ça, en général. Enfin, il y a une terrible injustice à exiger des hommes qu’ils partagent ce combat légitime de l’égalité entre les sexes mais à interdire aux hommes d’émettre un avis sur la stratégie à adopter… Parce qu’ils ne sont pas des femmes ! « Et nous serons capables de les hiérarchiser nous-mêmes s’il s’avérait pertinent de le faire ». L’absence totale de nuance dans l’emploi de « l’oppresseur », « les autres » pour désigner la communauté masculine finit de discriminer de manière limpide, au point de pouvoir légitimer une plainte si une communauté différente était désignée en ces termes. Je suis favorable à l’expression actuelle des victimes sur les réseaux sociaux, mais pas à ce qu’on me dise ce que je dois penser en tant qu’homme sur l’ensemble des sujets évoqués (modification de la grammaire française, prévalence culturelle ou non de certains actes commis,…)
La phrase suivante, dont l’idée est reprise ensuite, est énoncée avec suffisamment de généralité pour qu’on comprenne qu’elle vise l’ensemble des hommes, ou du moins à tous ceux qui n’adhèrent pas à l’opinion générale exprimée par les auteurs: « Pour les hommes, c’est open bar, ils peuvent se servir, ils sont les rois de la jungle et certains peuvent éventuellement asseoir ce statut en braconnant quelques femelles ». Clairement injurieux pour les hommes en général, de même que la contradiction évoquée plus bas : « De facto, « ils » font partie du problème ( du problème réel des actes de harcèlement et des viols () (…) le silence est une complicité qui range son auteur dans le camp des plus forts » Tout aussi clairement, ne pas se ranger au militantisme revendiqué revient à se rendre complice. De quels actes ? Désigner quelqu’un comme complice, c’est une accusation, et dans notre civilisation , jusqu’ici, on accuse sur base de faits, pas comme ça, en général. Enfin, il y a une terrible injustice à exiger des hommes qu’ils partagent ce combat légitime de l’égalité entre les sexes mais à interdire aux hommes d’émettre un avis sur la stratégie à adopter… Parce qu’ils ne sont pas des femmes ! « Et nous serons capables de les hiérarchiser nous-mêmes s’il s’avérait pertinent de le faire ». L’absence totale de nuance dans l’emploi de « l’oppresseur », « les autres » pour désigner la communauté masculine finit de discriminer de manière limpide, au point de pouvoir légitimer une plainte si une communauté différente était désignée en ces termes. Je suis favorable à l’expression actuelle des victimes sur les réseaux sociaux, mais pas à ce qu’on me dise ce que je dois penser en tant qu’homme sur l’ensemble des sujets évoqués (modification de la grammaire française, prévalence culturelle ou non de certains actes commis,…)
La phrase suivante, dont l’idée est reprise ensuite, est énoncée avec suffisamment de généralité pour qu’on comprenne qu’elle vise l’ensemble des hommes, ou du moins à tous ceux qui n’adhèrent pas à l’opinion générale exprimée par les auteurs: « Pour les hommes, c’est open bar, ils peuvent se servir, ils sont les rois de la jungle et certains peuvent éventuellement asseoir ce statut en braconnant quelques femelles ». Clairement injurieux pour les hommes en général, de même que la contradiction évoquée plus bas : « De facto, « ils » font partie du problème ( du problème réel des actes de harcèlement et des viols () (…) le silence est une complicité qui range son auteur dans le camp des plus forts » Tout aussi clairement, ne pas se ranger au militantisme revendiqué revient à se rendre complice. De quels actes ? Désigner quelqu’un comme complice, c’est une accusation, et dans notre civilisation , jusqu’ici, on accuse sur base de faits, pas comme ça, en général. Enfin, il y a une terrible injustice à exiger des hommes qu’ils partagent ce combat légitime de l’égalité entre les sexes mais à interdire aux hommes d’émettre un avis sur la stratégie à adopter… Parce qu’ils ne sont pas des femmes ! « Et nous serons capables de les hiérarchiser nous-mêmes s’il s’avérait pertinent de le faire ». L’absence totale de nuance dans l’emploi de « l’oppresseur », « les autres » pour désigner la communauté masculine finit de discriminer de manière limpide, au point de pouvoir légitimer une plainte si une communauté différente était désignée en ces termes. Je suis favorable à l’expression actuelle des victimes sur les réseaux sociaux, mais pas à ce qu’on me dise ce que je dois penser en tant qu’homme sur l’ensemble des sujets évoqués (modification de la grammaire française, prévalence culturelle ou non de certains actes commis,…)
François Lemaire, c'est tout ce que vous avez trouvé pour troller ? À moins que vous n'ayez de quoi argumenter vos propos ?
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