Les habitants continuent à acheter massivement des voitures et évidemment s’en servent en plus du vélo ! Chaque année, il y a plus de 50.000 voitures supplémentaires en circulation et les facilités n’ont jamais été aussi abondantes et inimaginables dans les dernières décennies : voitures de société, carte carburants, prix de l’essence au plus bas depuis 1952, extension des frais déductibles plutôt que forfaitaires grâce à la voiture....Pendant ce temps, les dépenses d’investiisement public se sont effondrées depuis 1985 et au-delà des déclarations vertueuses, aucune amélioration ne semble visible.
Les habitants continuent à acheter massivement des voitures et évidemment s’en servent en plus du vélo ! Chaque année, il y a plus de 50.000 voitures supplémentaires en circulation et les facilités n’ont jamais été aussi abondantes et inimaginables dans les dernières décennies : voitures de société, carte carburants, prix de l’essence au plus bas depuis 1952, extension des frais déductibles plutôt que forfaitaires grâce à la voiture....Pendant ce temps, les dépenses d’investiisement public se sont effondrées depuis 1985 et au-delà des déclarations vertueuses, aucune amélioration ne semble visible.
Beaucoup de navetteurs viennent de la périphérie et des villes voisines (BW, Leuven...), à moins de 25 km de Bruxelles. Une solution efficace est le vélo (ou VAE pour ceux qui n'ont pas le courage de pédaler pour de vrai). Il faut absolument améliorer les voies cyclables et créer des "autoroutes cyclables", un peu comme en Allemagne où les villages sont tous reliés entre-eux par ces pistes à travers champs.
Il faut pourtant reconnaître que les transports publics sont en-dessous de tout en Belgique et plus particulièrement en Wallonie. Les trains sont moins nombreux et plus lents qu'en 1970. Les bus n'ont pas de voie protėgée et le métro, à Bruxelles, est quand même peu maillé. Du coup, tout le monde utilise sa voiture, même les Bruxellois.
Je partage complètement votre point de vue. Mais une étude à prouvé que même si cela était mis en place et même si demain les modes de transport alternatifs étaient deux fois plus efficaces et plus rapides que la voiture, cela ne fonctionnerait pas. Les gens continueraient à se déplacer en voiture. Lorsqu'ils disent, oui mais il n'y a pas d'alternative valable, leur but n'est pas d'utiliser ces alternatives, mais ils espèrent qu'un maximum de personnes les utiliseront pour qu'ils aient moins de bouchons. La conclusion de cette étude est que la seule solution pour diminuer les bouchons et de toucher au portefeuille des gens et réduire les accès en voiture.
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