La France va mal, très, très mal. Et ça ne date pas d'hier, ça ne date pas de Macron. Ni même de Hollande ou de Sarkozy. Chirac constatait déjà "la fracture sociale" en 1995, il y a plus de 20 ans. Cette fracture ne fait que s'aggrandir, c'est maintenant un abysse, faisant le lit des populistes qui jouent sur du velour. Il ne s'agit pas d'une fracture entre les pauvres et les riches, mais entre ceux qui gouvernent, et qui sont pourtant élus démocratiquement, et la population générale qui ne se sent plus représentée, plus écoutée. Entre une élite intellectuelle pourtant bien intentionnée, et un peuple orphelin, abandonné, incompris. Ce lien passe par la démocratie participative dans laquelle une partie des assemblées est constituée de citoyens tirés au hasard, du sommet de l'état (et même de l'Europe!) jusqu'aux communes. Et ça n'est pas valable que pour la France, mais pour tous les pays d'Europe, y compris la Belgique. A trop attendre à ce faire, c'est la démocratie même qui est en jeu, et elle est déjà bien écornée dans plusieurs pays d'Europe. Demain, et ça pourrait venir très très vite, il pourrait bien y avoir une insurrection en France qui ne ressemblera en rien à celle de mai '68. Ça sera moche de chez Moche. Fera tâche d'huile. Appelera l'avènement de gouvernements de plus en plus autoritaires qu'ils soient d'ordre fasciste ou communiste dans lequel la démocratie sera mise entre parenthèse, et pour longtemps. L'Europe n'y survivra pas et bientôt, il y aura à nouveau des guerres entre voisins européens. Vous n'y croyez pas? Qui donc y croyait dans la 2e partie des années '30? Lire ou relire David Van Reybrouck "Contre les élections", pour comprendre en quoi l'urgence démocratique est là, en quoi la démocratie participative devient une évidence pour la sauver, et surtout comment s'y prendre pratiquement.
La France va mal, très, très mal. Et ça ne date pas d'hier, ça ne date pas de Macron. Ni même de Hollande ou de Sarkozy. Chirac constatait déjà "la fracture sociale" en 1995, il y a plus de 20 ans. Cette fracture ne fait que s'aggrandir, c'est maintenant un abysse, faisant le lit des populistes qui jouent sur du velour. Il ne s'agit pas d'une fracture entre les pauvres et les riches, mais entre ceux qui gouvernent, et qui sont pourtant élus démocratiquement, et la population générale qui ne se sent plus représentée, plus écoutée. Entre une élite intellectuelle pourtant bien intentionnée, et un peuple orphelin, abandonné, incompris. Ce lien passe par la démocratie participative dans laquelle une partie des assemblées est constituée de citoyens tirés au hasard, du sommet de l'état (et même de l'Europe!) jusqu'aux communes. Et ça n'est pas valable que pour la France, mais pour tous les pays d'Europe, y compris la Belgique. A trop attendre à ce faire, c'est la démocratie même qui est en jeu, et elle est déjà bien écornée dans plusieurs pays d'Europe. Demain, et ça pourrait venir très très vite, il pourrait bien y avoir une insurrection en France qui ne ressemblera en rien à celle de mai '68. Ça sera moche de chez Moche. Fera tâche d'huile. Appelera l'avènement de gouvernements de plus en plus autoritaires qu'ils soient d'ordre fasciste ou communiste dans lequel la démocratie sera mise entre parenthèse, et pour longtemps. L'Europe n'y survivra pas et bientôt, il y aura à nouveau des guerres entre voisins européens. Vous n'y croyez pas? Qui donc y croyait dans la 2e partie des années '30? Lire ou relire David Van Reybrouck "Contre les élections", pour comprendre en quoi l'urgence démocratique est là, en quoi la démocratie participative devient une évidence pour la sauver, et surtout comment s'y prendre pratiquement.
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