Cette crise ne changera rien quant à l'orientation néo-libérale des prochains gouvernements belges ou européens. La crise financière qui en résultera, sera une fois de plus supportée par le monde des salariés, des petits indépendants et des retraités, sans que l'on diminue les niches fiscales des plus nantis et autres avantages fiscaux. Quant au monde de la rue, on lui fournit un toit aujourd'hui, pour qu'il ne nous contamine pas, et, non par charité. Quant la crise sera terminée, il y retournera dans des conditions plus précaires, ou sera expulsé hors de nos frontières. Rien ne changera, si ce n'est que la solidarité entre européens, déjà quasi inexistante, le sera encore moins… Il suffit d'observer la réunion actuelle des ministres européens des finances, la politique des uns et des autres est de tirer à soi, la couverture. L'attitude adoptée, il y a quelques années, vis-à-vis de la Grèce va se reproduire vers d'autres pays, comme l'Italie, peut importe si un régime d'extrême droite s'y installe prochainement.
vague souvenir d'un 4ème pouvoir...
Nous vivons en effet dans un monde Vichyssois: la peur de l'inconnu crée un besoin infantile d'autorité. Il suffit de lire les articles relatifs à ce qui est "autorisé" vs ce qui est "interdit ". Le tout pris pour argent comptant sans aucun souci de relever les incohérences.
C'est vrai qu'un psychologue cela pourrait être utile. Encore faudrait-il que ce soit une pointure.
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