Les chercheurs, c'est fait pour chercher : donc retour à leurs éprouvettes. Et le plus tôt sera le mieux. Croyez-vous que Winston Churchill a suivi l'avis de chercheurs en sciences politiques avant de rejeter les propositions de Hitler au début de le guerre ? Et croyez-vous que les conseillers chez qui il a pris des avis sont allés se répandre dans la presse après - ou même avant - leur entrevue avec le Premier Ministre ? Je ne crois pas...
Winston Churchill et les experts qu'il a éventuellement consulté (ou pas), c'était une (toute) autre époque...Pas de "Tweeter", "Instagram", "FaceBook", "YouTube", etc. etc. etc. Par ailleurs ne pas oublier les "Daladier et Chamberlain" qui l'ont précédé... Pour revenir au temps présent, les chercheurs en effet doivent continuer à chercher, et si possible trouver. Cela ne leur enlève absolument pas le droit d'exprimer leurs opinions. Même si elles ne vous plaisent pas.
C'est la virolocratie aujourd'hui. Les politiques ont cédé face aux experts les plus pessimistes, par souci du parapluie ouvert... C'est pas nous, c'est les virologues qui ont décidés.
Rien ne vous empêche d'aller vous faire contaminer dans les bas quartiers d'Anvers si ça vous change ; après ça, confinez-vous pour crever dans votre coin, sans contaminer les citoyens qui ne se croient pas plus malins que des experts en virologie et épidémiologie.
Tragique ! Maintenant qu'on leur a laissé les manettes pour nous assujettir et que manifestement la soupe est bonne à leur position, vous pouvez toujours courir pour qu'ils retournent à leurs éprouvettes et qu'ils nous foutent enfin la paix.
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