Toujours le goût des hyperboles et, au fond, cette idée récurrente "qu'il n'y a qu'à..." Comme le signale un participant à ce forum, s'il y avait unanimité sur ce que recouvre la notion d'intérêt général, il serait évidemment révoltant que les politiques ne s'y consacrent pas toutes affaires cessantes. Mais sauf à en rester à de grandes généralités, définir et cerner de près ce qui, réellement, constitue l'intérêt de tous les Belges et de chacun d'entre eux s'apparente à peu près à la quadrature du cercle. Le "génie du compromis" qui a longtemps caractérisé la Belgique a permis jusqu'ici de relever vaille que vaille le défi. Il est difficile de ne pas voir que cela semble de plus en plus ardu. De là à conclure que c'est la faute des politiques, sans plus, cela relève à mon sens d'une forme de démagogie.
Etant donné que le nombre de sottises est linéairement proportionnel au nombre de ministres, rien de tel qu'un gouvernement minoritaire comme celui qui gouverne actuellement relativement bien le pays.
Etant donné que le nombre de sottises est linéairement proportionnel au nombre de ministres, rien de tel qu'un gouvernement minoritaire comme celui qui gouverne actuellement relativement bien le pays.
Etant donné que le nombre de sottises est linéairement proportionnel au nombre de ministres, rien de tel qu'un gouvernement minoritaire comme celui qui gouverne actuellement relativement bien le pays.
Etant donné que le nombre de sottises est linéairement proportionnel au nombre de ministres, rien de tel qu'un gouvernement minoritaire comme celui qui gouverne actuellement relativement bien le pays.
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