Excellent article. Ce qui est "dingue" c'est que les premiers à battre le tambour de ces inepties de classement sont (censés être) universitaires : les journalistes.
Ce classement des universités n’est rien d’autre que ce que fait chaque prof d’université avec chacun de ses étudiants : réduire son travail à un chiffre. Mais un recteur d’université ne supporte pas d’être évalué.
Votre commentaire est un peu facile. Donner un seul chiffre pour qualifier un travail fort limité et fort précis ne correspond nullement à attribuer un seul chiffre pour juger de l'ensemble gigantesque les activités aussi diverses qu'abondantes des universités. Comparer entre elles des facultés universitaires parfaitement correspondantes (p. ex., les seules facultés de médecine ou d'économie, etc) est déjà casse-gueule. Dès lors, comparer différents ensembles de facultés est tout simplement grotesque. Et là, une fois de plus..., je trouve que les médias devraient plus se méfier. Qu'ils se laissent prendre au piège une fois ou deux, bof!... c'est déjà dommage, mais bon. Mais qu'ils répètent la même erreur d'année en année, ce la me paraît difficile à accepter. Les journalistes ont un métier utile et capital. Il me semble l'oublier parfois trop facilement.
"Ranking" ? Vous avez peur que les lecteurs ne comprennent pas "classement" ? A propos d'universités !!!
En effet "Le Soir" se la pète un peu et oublie que tout le monde n'a pas son BAC... Si en plus du dico de français, celui des SMS (minimessages) de mes petits enfants, celui des acronymes, il me faut encore consulter celui d'anglais Pfffff. Ces chers journalistes savent ce que veut dire rankings, mais vont rouler "en" vélo (mon prof de 3e primaire Mr Louage doit se retourner dans sa tombe)... Bon il semblerait que presse écrite ou télévisée ne sont plus très "en" cheval sur les principes... Là dessus moi je vais faire un tour à voiture... Re pffff. Affaire... classée!
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