Voilà la question qu'il faut oser poser : pourquoi 4 heures d'attende pour une personne malade ? Le reste n'est que des crêpages de chinons pour épater la galerie !!! Et monsieur Casier dit tout haut ce que tout le monde pensent tout bas !!!! Justice malade, car son aucun argent, à part bien sûr, celui pour payer le ministre !!!!
Cette "affaire" tragique prend de plus en plus l'allure d'une gigantesque bavure que l'on a voulu étouffer. Comment le citoyen peut-il encore avoir confiance?
L'aticle 33quinquies de la loi sur la fonction de police prévoit " Toute personne qui fait l'objet d'une arrestation administrative a le droit à l'assistance médicale. Sans préjudice du droit prévu à l'alinéa premier, toute personne qui fait l'objet d'une arrestation administrative a le droit subsidiaire à un examen médical par un médecin de son choix. Les frais liés à cet examen sont à charge de l'intéressé." Comment en pratique est organisée cette assistance médicale prévue à l'alinéa 1 ? Le journaliste du soir pourrait-il éclairer notre lanterne ? Je suppose que monsieur Chovanec n'était pas en état d'exercer ses droits prévus à l'alinéa 2...
Apparemment un arrêté royal décrit l'organisation pratique qui découle de l'application des article s 33quinquies, alinéa 1er (c'est-à-dire l'assistance médicale). Cet arrêté royal existe-t-il ? Si oui quelle est sa référence ?
En dehors des heures de bureau et pendant les week-ends et les jours fériés, seul un magistrat de garde est présent au parquet. Les services de police peuvent le joindre à tout moment au sujet de décisions urgentes qui ne peuvent être arrêtées que par un magistrat. Il peut s'agir de confirmer l'arrestation d'un suspect, de retirer un permis de conduire, de désigner des experts (par exemple, un expert en matière de circulation routière en cas d'accident de roulage grave, un médecin légiste en cas de décès suspect, un expert balistique en cas d'usage d'armes, etc.). Le Soir pourrait-il expliquer quelle procédure le magistrat de garde a suivi pour identifier le médecin qui doit examiner monsieur Chovanec et dans quel délai le médecin requis doit s'exécuter ? On suppose que les médecins ne se bousculent pas au portillon pour réaliser ce genre de mission. N'est-ce pas le travail des médecins légistes ? Mais il paraît qu'il n'y en a quasi plus et qu'en outre ils reçoivent des émoluments ridicules, qui est plus est des mois après leurs prestations. De manière plus globale le ministre de la justice se contrefiche de l'importance et de l'avenir de la médecine légale;
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