L'exercice absolu de la liberté signifie en pratique l'application de la loi du plus fort. Il est incompatible avec la vie en société. C'est la raison pour laquelle l'exercice des liberté individuelles est limité pour éviter qu'il n'affecte l'exercice concurrent des libertés d'autrui. Dans les sociétés évoluées, les limites à l'exercice de la liberté sont définies par la loi. Dans les sociétés démocratiques, ces lois sont proposées, débattues et acceptées par le pouvoir législatif, appliquées par le pouvoir exécutif et la contravention à celles-ci jugées par le pouvoir judiciaire. Les opinions émises par djt enfreignent plusieurs des lois américaines. Il aurait été plus sain que les plateformes de média sociaux collaborent activement avec la justice américaine pour qu'un jugement de celle-ci fonde le bannissement de djt. Cela aurait éliminé l'accusation de dérive dictatoriale émise par les adorateurs du sbire. C'est la leçon à tirer des évènements.
Inéluctablement, viendra le jour où les réseaux sociaux seront supprimés, définitivement. Le mensonge y est devenu la loi. Leur gestion devient incontrôlable.
Je ne trouve pas cela très éthique. C'est un président... zut... QUOI ! Je n'aime pas spécialement Trump mais la fermeture, désormais définitive, de son compte par Twitter me paraît totalement scandaleuse. Et surtout dictatorial !!. Doit-on déléguer notre liberté d'expression aux GAFAS ? Demain, ce sera pour nous tous, cette censure numérique, et privée. Un évènement devrait être créé pour boycotter, tous ensemble, tous ces réseaux sociaux ( ne fût-ce que pour 1 jour)
Vous avez tout à fait raison. Personnellement ce "boycott" est effectif depuis le début de ces réseaux dits "sociaux", et le restera jusqu'à nouvel ordre.
@Naeije Robert, une fois n'est pas coutume, nous serons, au moins en partie, d'accord. il ne devrait pas appartenir à des entreprises privées de décider de ce qui peut être publié de ce qui ne peut pas l'être. En revanche, il faut rendre les réseaux "Asociaux" responsables de ce qui est publié sur ceux-ci. Il faut modifier et le projet est en cours en UE la législation et rendre les réseaux directement responsables éditeurs de contenus. Et oui, au final, ils devront faire le tris mais pas sur leur bonne ou mauvaise volonté, et pas en choisissant eux mêmes sans filet de sécurité mais bien sur base de législations existantes qui doivent être reprécisées et élargies. Par exemple en Belgique aujourd'hui, seul l'incitation à la haine raciale est punissable hors l'expression de la haine raciale devrati l'être également. Qu'on me comprenne bien, on a tout à fait le droit de parler des législations sur l'immigration, mais la haine n'est pas une opinion politique, c'est une émotion, funeste. Comme le souligne un récent projet en discussion sur cette question au niveau européen, ce qui est interdit hors de la toile (racisme, appel à la haine, discrimination,...) doit également être interdit SUR la toile. Mais il faut un cadre juridique contraignant mais également sécurisant pour le entreprises du web.
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