Jean-Claude Phlypo, un consultant très discret à Liege Airport

Ces socialistes à Liège et à Charleroi sont une gangrène pour nos finances. On ne peut s'étonner du déficit des finances de la Région... Rappelons quand même que nous avons déjà en Belgique 7 parlements, 53 ministres, 4500 membres de cabinets, 200 intercommunales (surtout en Wallonie) avec plus de 3000 mandataires publics qui y siègent, 10 provinces avec gouverneurs, conseillers etc. Et il y a en plus des conseillers politiques dans certaines sociétés publiques !!!!

Que ce triste sire veuille valoriser son carnet d’adresses n’est jamais que dans la norme du système néo-libéral où tout se vend et tout s’achète. Que cela s’apparente à un détournement de deniers publics est infiniment plus grave et devrait entraîner la chute de tous ceux qui se sont prêtés à ces obscénités. L’anormal, d’un point de vue éthique s’entend, c’est que tout ce joli monde ait trouvé dans un parti qui n’a plus rien de socialiste sinon l’abus qu’il fait du nom le marche-pied idéal à ses cupides ambitions. Depuis la belle époque de la fin du siècle dernier avec le scandale Agusta ou les scandaleuses dérives à Charleroi, rien n’a changé en fait malgré les professions de foi hypocrites de dirigeants ulcérés non par les faits qui leur étaient connus, ne soyons pas naïfs, mais par la succession d’imprudences qui les ont révélés. Ces hiérarques préfèrent gloser sur le sujet avec des airs de jésuites offensés que de se mettre en chasse des parvenus de tout acabit qui infestent leur parti. Ils savent évidemment que cette purge nécessaire mais toujours différée aboutirait à l’anéantissement du parti tant les complicités et les ramifications plongent profond dans l’ADN de cette clique qui survit avec la complicité dans le meilleur des cas de l’ignorance ou de la naïveté d’un électorat certes en constante régression mais encore beaucoup trop solide parce que convaincu de conserver ainsi l’accès à de dérisoires avantages.

A mon avis, ce carnet d'adresses appartient à la SRWT et pas à lui. C'est comme si un employé développait un produit, puis part à la pension avec les plans pour les valoriser à travers sa propre société. Je crois qu'il n'est pas tout à fait dans son droit pour ne pas dire autre chose de plus grave.

A mon avis, ce carnet d'adresses appartient à la SRWT et pas à lui. C'est comme si un employé développait un produit, puis par à la pension avec les plans pour les valoriser à travers sa propre société. Je crois qu'il n'est pas tout à fait dans son droit pour ne pas dire autre chose de plus grave.