J'ai dénoncé à plusieurs reprises les libertés prises en Be avec la protection des données. J'ai alerté mes collègues via la presse médicale. Et ce dès la publication de l'AR du 22 décembre et de la loi du 24 décembre, contre lesquels l'ABSyM va introduire des recours. J'ai fait de même lors des publications successives ( la dernière en l'été 2020) des AR confiant à Sciensano,, la gestion des données Covid: la protection des donnée de santé à caractère personnel n'y est pas garantie. de même, le projet de loi pandémie comporte des risques identiques. Rien ni personne n'a bougé. L'incrédulité et l'incompréhension des enjeux règnent parmi le public. Il faut saluer , et soutenir, les deux directrices qui ont osé lever le silence sur des pratiques dangereuses, d'autant plus qu'elles semblent maintenant faire l'objet d'un harcèlement organisé de la part de leur hiérarchie. Il ne faut pas laisser enterrer cette affaire, la clarté doit être faite et les corrections apportées. Des (?) parlementaires semblent cibler le messager sans voir le message. La commission européenne est le seul recours qui peut faire bouger les choses, étant garante du respect du RGPD aujourd'hui bafoué chez nous. Signé: Dr J de Toeuf
Madame; vous postez sous " Carette - De Toeuf Françoise" ... et vous terminez par " signé : Dr J de Toeuf ". C'est quoi cette supercherie ? Je doute que cela puisse apporter une quelconque crédibilité à votre post ! (Et en double svp !) (bis repetita également)
J'ai dénoncé à plusieurs reprises les libertés prises en Be avec la protection des données. J'ai alerté mes collègues via la presse médicale. Et ce dès la publication de l'AR du 22 décembre et de la loi du 24 décembre, contre lesquels l'ABSyM va introduire des recours. J'ai fait de même lors des publications successives ( la dernière en l'été 2020) des AR confiant à Sciensano,, la gestion des données Covid: la protection des donnée de santé à caractère personnel n'y est pas garantie. de même, le projet de loi pandémie comporte des risques identiques. Rien ni personne n'a bougé. L'incrédulité et l'incompréhension des enjeux règnent parmi le public. Il faut saluer , et soutenir, les deux directrices qui ont osé lever le silence sur des pratiques dangereuses, d'autant plus qu'elles semblent maintenant faire l'objet d'un harcèlement organisé de la part de leur hiérarchie. Il ne faut pas laisser enterrer cette affaire, la clarté doit être faite et les corrections apportées. Des (?) parlementaires semblent cibler le messager sans voir le message. La commission européenne est le seul recours qui peut faire bouger les choses, étant garante du respect du RGPD aujourd'hui bafoué chez nous. Signé: Dr J de Toeuf
Madame; vous postez sous " Carette - De Toeuf Françoise" ... et vous terminez par " signé : Dr J de Toeuf ". C'est quoi cette supercherie ? Je doute que cela puisse apporter une quelconque crédibilité à votre post ! (Et en double svp !)
Bravo à Alexandra Jaspar et Charlotte Dereppe. Tous mes respects. Curieux de voir si un parlementaire aura le courage de se positionner. Probablement pas, le règne de la lâcheté et des intérêts personnels...
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