A Bruxelles, c'est par la facture de consommation d'eau que l'on paie le réseau des égouts que la plupart des communes ont laissé pourrir. Par ailleurs, qui paie l'eau bien potable avec laquelle, généreusement, 'on disperse' les 'manifestants' ? Qui paie l'eau qui s'écoule à grands flots à chaque rupture de canalisation ?...
Plus le fait que si votre copine passe la plupart de son temps chez vous, vous avez une surconsommation d'eau qui ne rentre dans aucune case. A trop vouloir segmenter on passe à coter de toutes les situation non-standards à la place d'une simple tarification linéaire.
Ne renonçons pas aux principes en raisons des difficultés qu'ils nous imposent : généraliser les compteurs individuels (et bien entendu lutter contre les fuites) n'est pas la mer à boire (!) Cela permet de faire payer plus cher l'eau consommée en grande quantité/habitant, c'est un incitant à l'économie (indispensable dans le contexte de la raréfaction des ressources, plus encore demain). Et cela vient en soutien aux personnes qui se limitent à une consommation vitale, ce qui est social.
Excusez-moi… "démuni.e.s"? Vous vous pliez vraiment à la folie de l’écriture dite inclusive? Vous voulez vraiment aller à l’encontre du bon sens, de la grammaire et de l’alphabétisation avec un interventionnisme idéologique de la langue écrite qui n’a rendu aucun résultat probant vis-à-vis de l’égalité hommes-femmes, combat qui se joue dans l’éducation, l’argumentation raisonnée et le respect pour la personne (tiens, un féminin où on ne s’y attend pas!) humaine?
Au nom d’une saine relation commerciale, ne pourrait-on pas instaurer un tarif dégressif pour les bons clients grands consommateurs d’eau ? Ne pourrait-on pas dégraisser les intercommunales des eaux afin de financer ces "ristournes" ?
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