Analyse incomplète, voire biaisée, par des journaleux faisant de l'idéologie ou ne maîtrisant pas l'ensemble du sujet : on passe directement de la thèse à la conclusion sans "travailler la démonstration" ... lorsque qu'il n'est pas simplistement fait usage d'une "pseudo-thèse". La véritable question devrait être "Quel type de mobilité sommes-nous capable de nous offrir " ? (infrastructure ? Coût ? etc... ).
Comme lu dans un autre article, quel est l'impact environemental sur la pression accrue sur les minerais ( cuivre) de l'électrification massive ? les T de cables a enfouir sous les trottoirs viennent de minerai extrait dans des endroits où il fait "bon vivre" comme le chili !
Le vélo et la moto devraient être INTERDITS comme moyen de locomotion pour le chemin du travail. 1. Il est discriminatoire pour les automobilistes que les motards puissent se faufiler dans les files et ainsi "tirent un avantage concurentiel" par rapport aux automobistes. (ok c'est un peu ironique) 2. Les soucis organisationnels causés par les accidents de vélo et moto ( des années d'incapacité de travail cumulées) causent un déficit de concurence dans le chef des entreprises par rapport à celles qui ont la chance d'avoir l'entièreté de leur force de travail qui se déplace en voiture ou en train. 3. On parle d'une centaine de vies "sauvées" grâce à l'amélioration de la qualité de l'air mais quel est le cout pour la sécu/les assurances/le PIB des "HommesAnnées" d'incapacité de travail causées par les méfaits du vélo et de l'auto. Et même si, à l'heure actuelle, les voitures sont les causes d'une propoertion des accidents, il faut tenir compte du fait que bien des cyclistes ont une alternative ( voiture) pour venir travailler l'hiver... parce que par 10cm de neige ils n'ont pas besoin de voiture pour se casser la binette)
@ Vandersype Michael "C'est bien l'éolien, mais qu'en est-il du recyclage de leurs palles." C'est un problème qui est en passe d'être résolu. GE, qui produit des turbines, a récément (Déc. 2020) mis en place un programe de recyclage des pales, spécifiquement en les broyant et en incorporant le résultat dans la fabrication de ciment. Pour ce qui est du photovoltaïque, il n'est chez nous pas question de remplacer les surfaces agraires par des panneaux solaires, mais d'exploiter un maximum les toitures des surfaces construites ou industrielles. Même à nos latitudes (51° nord), le solaire reste une source d'énergie renouvelable intérressante et les panneaux sont également recycables. Pour le nucléaire, clairement, le problème des déchets reste entier, mais même les experts du GIEC s'accordent pour dire que maintenir le nucléaire existant est une possibilité pour produire de l'énergie décarbonnée en quantité.
On ne nous explique toujours pas comment on va gérer l’intermittence des énergies renouvelables lorsqu’elles composeront l’essentiel des sources d’énergie. Pour rappel, une éolienne délivre de l’électricité 25% du temps. Il faudra donc d’autres sources fiables pour fournir l’électricité quand il n’y a pas de vent. Idem pour le solaire. Aujourd’hui, c’est le nucléaire qui compense, demain, des centrales au gaz qui rejettent du CO2. Après-demain, on ne sait pas... On verra bien. Sauf que les technologies de stockage de l’électricité ne sont nulle part. Il est inquiétant que nos politiques se lancent à corps perdu dans une transformation sans fournir des réponses à ces questions de base. Or les expériences des pays ayant lourdement investi dans ces ENR (Allemagne, Australie, ...) devraient nous inciter à beaucoup plus de prudence et moins d’idéologie.
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