Malheureusement, cela semble se généraliser dans nos démocraties occidentales. Notre classe dirigeante, une fois installée dans l'état d'exception, se rend compte qu'elle a les coudées franches et verrait bien prolonger son abus de pouvoir le plus longtemps possible; pendant que vous serez terrorisé par un virus qui en veut à votre vie, eux se chargeront de vider votre portefeuille et de restreindre vos libertés "pour votre sécurité". C'est tellement gros qu'on ne réagit même plus, et ce dernier aspect est encore plus inquiétant. "Bêêêêêêh, bêêêêh... !
Avec raison, l'Etat grec s'appuie sur la loi "Capitole" pour faire respecter la loi. Point final...
Amnesty International peut si elle veut critiquer c'est son rôle. Mais en ce qui concerne les solutions la elle est transparente. C'est vrai que les dirigeants en général n'aiment pas la contestation et profitent de toutes les occasions pour restreindre les droits individuels. Pour ce qui est des push-back grecs c'est indigne d'un journaliste d'en parler sans expliquer la situation. La Turquie est un état sur et qui a l'obligation de contrôler ses frontières et c'est à ce pays de prendre en charge ou de refouler tous ceux qui veulent entrer chez elle. N'oublions pas non plus qu'elle occupe une partie de la Syrie et qu'elle pourrait installer les réfugies syriens sur place. Par contre tous les africains, maghrébins, afghans et autres qui arrivent en Turquie et qu'elle essaye de faire passer en Grèce par des push-in je ne vois aucune critique.
Tout ceci est prévus depuis longtemps. Restreindre nos libertés, nous contrôler de plus en plus, utiliser la censure. Gommer la démocratie et mettre en place le totalitarisme prôné par Klaus Schwab et l'oligarchie. Autre exemple : augmenter les carburants pour le peuple afin de garder les réserves de pétrole pour le tourisme de l'espace. Le peuple a tout accepté et finira donc esclave. A méditer
Il n'y a pas qu'en Grece !!! Ici aussi, ce gvt belge s'est comporté de manière brutale et inquétante surtout vis à vis des jeunes ! "En réalité, « en Grèce comme dans d’autres pays, le gouvernement a utilisé l’alibi de la pandémie pour renforcer la répression et restreindre la possibilité de manifester », estime donc Philippe Hensmans ( directeur d'Amnesty International)."
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