bonjour, je suis entièrement d'accord avec vous, Monsieur Hubert Vanslembrouck. - depuis l'accès immodéré à ce qu'on appelle "les réseaux sociaux" trop de gens se croient des spécialistes en tout ... et ensuite, bien sûr, puisque c'est écrit, c'est vrai !!! - je suis ingénieur en mécanique des fluides, et je ne donnerais aucun avis sur la gestion du réseau hydraulique de notre pays car je ne dispose pas des données qui permettent de donner un avis et encore moins de prendre les décisions. - j'ai travaillé dans une société où l'atelier fabriquait des "séries" . il y avait parfois des conflits entre les ouvriers et la direction. la clé d'une bonne résolution des conflits a toujours été d'être d'abord persuadé que chacun, à sa place, avait agi le mieux possible compte tenu des informations dont il disposait et ensuite de chercher ensemble des solutions constructives pour l'avenir.
et de ne rien cacher sous le manteaux?
Et si Monsieur Valsembrouck arrêtait de jouer au donneur de leçons. Nul n'est plus mal placé qu'un journaliste pour reprocher à qui que ce soit d'avoir des opinions parfois mal étayées sur des sujets variés. Les fameux "professeurs d'université raffolant des médias" dont il parle n'existent que parce que les médias (donc lui-même) raffolent des professeurs d'université ayant des avis sur tout. Quant au "compassionnalisme" à deux balles et à cette façon de tout ramener à la question des victimes (comme si la gestion des risques naturels se limitait à la compassion envers les victimes) je préfère ne même pas dire ce que j'en pense.
Monsieur Vandenbrouck, apprécie beaucoup, Madame Delvaux ( du Soir ).
Le Soir joue au toutologue depuis le début de la crise du Covid-19. Les journalistes sont des spécialistes de la langue de bois. A méditer
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