@Coets Jean-jacques "La notion du "Grand Remplacement" en tant que démarche manifeste et volontaire de la part de certains est un mythe ! "Qui a jamais parlé d'un "Grand Remplacement" en comme une démarche manifeste et volontaire? Même si de la part des musulmans, une partie relève probablement de cette intention.
Votre réponse est parfaite, Jean-Jacques. Je me pose la question de savoir si ceux qui craignent le "grand remplacement" se rendent compte que leur réflexion repose sur l'idée de "pureté de la race" de triste mémoire (pardon pour le point Godwin mais je ne vois pas comment l'éviter ici).
La notion du "Grand Remplacement" en tant que démarche manifeste et volontaire de la part de certains est un mythe ! En tant que phénomène social et anthropologique, il est par contre réel et j'ajouterai naturel. Dans le cas de mes grands-parents, tous les 4 vivant à Bruxelles, tous étaient belges. Aujourd'hui, dans ma famille, il y a 5 nationalités différentes, et je suis le dernier "pur produit belge IGP" ! Ma fille est pour moitié congolaise, mes fils pour moitié italiens, mes frères pour moitié français et ma compagne est italienne née en Belgique. J'ajoute que cela me plait beaucoup ainsi !
Qui a trouvé ce titre ? UN PEU SIMPLISTE POUR UN JOURNALISTE OU UN POLITICIEN : " un parti ne sert pas à suivre l'opinion mais à la faire " - Il y a beaucoup de citoyens qui ont simplement du BON SENS - J'estime que nous n'avons PAS ou PLUS besoin de "politiciens " pour avoir un avis - Les gens discutent sur les marchés - dans les réunions ... NOUS avons accès grâce à nos recherches personnelles à des informations - Trop de politiciens se transforment en " missionnaires " intéressés et peu crédibles pour influencer nos orientations -
Mais c'est précisément ce qu'il dit ! La participation citoyenne à la réforme de l'Etat, c'est en partie son bébé. Quand il dit que la politique ne devrait pas être un métier, sauf exception, mais bien l'engagement de citoyens de la société civile, c'est parce qu'ils viennent précisément avec des idées ! Il dit simplement que l'homme politique doit être un initiateur et non un suiveur. Or, faire de la politique un métier amène justement à devenir un suiveur, pour garder son job !
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