Ce n'est pas du journalisme c'est du copier coller des merdias de l'AFP agence France Propagande sans aucune étude scientifique ni critiques!
Bonjour monsieur Counasse, Les chiffres du jour montrent que vous auriez du attendre un peu avant de conclure que les hospitalisations et les décès sont decouplés des contaminations. On sait pourtant depuis le début qu il y a un décalage de deux semaines entre un pic de contamination et les hospitalisations. Moi aussi j avais rêvé que le vaccin fonctionne mieux. En flandre, 70% de vaccinés à l hopital avec 80% de vaccinés dans la population. A 10% près, on pourait conclure que tout le monde a eu un placebo.
Vous êtes con ou criminel?
@Rambeaux: vous voyez bien que les antivax n'ont pas le niveau pour comprendre une simple démonstration. "Les réseaux sociaux ont donné le droit de parole à des légions d'imbéciles qui, auparavant, ne faisaient que discuter au bar après un verre de vin, sans causer de tort à la collectivité. On les faisait taire tout de suite, alors qu'aujourd'hui ils ont le même droit de parole qu'un prix Nobel. C'est l'invasion des imbéciles."
Monsieur Ernotte, en plus, vous aggravez votre cas en prenant de haut ceux qui mettent en doute vos compétences mathématiques. Votre pseudo-calcul est d'abord totalement biaisé. Tenons-nous en d'abord à vos chiffres (qui sont faux, on verra plus loin) : on a donc 800 hospitalisés vaccinés, et 200 qui ne le sont pas. Vous nous dites que sur les 100 hospitalisés, 70 sont vaccinés, 30 ne le sont pas. Le taux de risque chez les vaccinés est donc de 70 sur 800 (soit 8,75%), tandis que chez les non-vaccinés, on a un rapport de 30 sur 200, soit 15%. Même avec vos valeurs fausses, on a déjà donc 2 fois plus de risque d'être hospitalisé quand on n'est pas vacciné. Et tout ce que vous arrivez à conclure de VOS chiffres est qu'il s'agit d'un effet placebo. Et vous prenez les gens de haut... Qui plus est, selon un article de LeVif (lien plus bas), la proportion en hôpital est en réalité de un tiers de vaccinés, 2/3 de non vaccinés. Qui plus est, pour examiner les hospitalisations, il faut limiter son observation aux personnes à risque (sous peine de fausser l'observation), soit les 60+, qui sont vaccinés à 90%. On refait le calcul avec ces valeurs (si si, accrochez-vous), et je vous concède même qu'il y ait autant de vaccinés que de non-vaccinés dans les hospitalisés : on a donc 50/900 risque d'être hospitalisé quand on est vacciné, et 50 sur 100 quand on ne l'est pas. Bref, 5,5% pour les vaccinés, 50% pour les non vaccinés. Dingue. Un rapport de 1 à 10. Tiens, ça correspond aux 90% de protection annoncés, en tout cas pour les formes graves. Bref, quand on ne comprend rien aux statistiques, la moindre des choses est de se taire, ou en tout cas, on essaie de ne pas prendre les autres de haut... Ou de prendre la peine de lire correctement les chiffres. Bref, c'est pathétique.
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