Sauver le voyage ou la planète: le paradoxe des passagers aériens

Une désinformation organisée ... L'aviation de loisir est une petite part des émissions de CO2 ou pire gaz à effet de serre liée aux loisirs où à la manière de vivre. Ces journalistes infâmes qui jouent la culpabilisation du public, la diabolisation de la voiture des avions. Il faut du temps pour améliorer nos habitudes et surtout nos technologies polluantes. Personne n'ose parler de l'empreinte environnementale des trois nombreux animaux domestiques dit de compagnie, personne n'ose parler de ces airs-conditionnés inutiles dans nos climats tempérés alors que l'on est nulle part sur la ventilation, l'ombrage photovoltaïque ou végétal. On trompe par des chiffres manipulés en incluant l'empreinte des véhicules et de l'infrastructure, l'empreinte spatiale, les coûts de maintenance pour certains et pas pour d'autres. On mélange allègrement la mobilité utile de la mobilité de loisir. Le plus éclairant est le favoritisme pour le transport par rail, Le plus trompeur est l'usage du vélo ou le loisir prend la part essentielle ...

Cela aurait été bien , par souci d'être complet , (même assis "le cul entre deux chaises ") , de donner la part du dégagement de CO2 dû à l'aérien dans le dégagement global. En précisant que ces chiffres incluent souvent même le CO2 dû à la construction des aéroports !

Mais enfin, faites ce que je dis, pas ce que je fais.