Admettre que quelque chose est indicible ou inaudible, c'est rejeter la liberté d'opinion et d'expression, c'est la censure. Ça a quelque chose de religieux, car ça pose certaines valeurs comme absolues, plus valables que d'autres a priori. Alors que le débat politique doit précisément choisir quelles seront les valeurs partagées, donc les entendre toutes.
ce genre d'article n'apporte rien. Aucune définition de l'extrême-droite, qu'on confond allègrement avec extrême droite (sans trait d'union) , droite extrême et droite radicale, sans jamais du détail sur leur projet. Le "plus jamais ça", donc le cordon sanitaire, concerne la Shoah ; aucune de ces partis ne la promeut, que l'on sache. — Idem pour extrême-gauche ou pour populisme. Jamais une définition. Ce sont devenus des mantras pour dire "mon ennemi, donc mauvais, sans discussion ". Comme "herétique" ou "antirévolutionnaire" ou "non-aryen" sous d'autres régimes... pourtant vivement critiqués par nos soi-disant démocrates et journalistes.
Qualifier d'extrême droite un parti qui rétablir la sécurité et mettre fin à une immigration débridée et à l'islamisation revient à dire que tous les autres partis ne font rien en ce sens. C'est aussi inexact que dangereux.
Massacru : Mussolini a créé le fascisme, mais ce n'était pas l'extrême-droite qui existait en France, en Allemagne, en Europe centrale, c'était antidémocratique mais social. Casa Pound est d'extrême-droite mais pas franchement mussolinien. Le MSI était fasciste, de droite, extrême peut-être, mais pas "extrême-droite" au sens néo-nazi. Encore moins Fratelli (très à droite mais ni nazi, ni fasciste).
Georigia Meloni est une partisane de Mussolini. Si pour vous ce n'est pas de l'ED, alors oui vous avez perdu tout sens de la réalité !
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