Cela restera malheureusement le grand paradoxe climatique jusqu'à ce que l'on ait de l'eau jusqu'à la ceinture avec la tête grillée au soleil. Les riches (nous donc) ne veulent pas délaisser leur confort de vie et les pauvres ne rêvent que d'accéder à ce confort.
Tant qu'on ne sait pas ce qu'on veut faire et surtout comment on veut le faire, il vaut mieux prendre le temps de le définir. Nos ressources sont limitées, arrêtons donc de les gaspiller en faisant du gros n'importe quoi.
Bien sur, on trouvera toujours un "expert" pour démontrer le contraire de ce qu'on l'on propose que ce soit blanc ou noir.
"où on n’a pas la base de maîtrise qu’il faudrait" - Tout est dit. Ça vaut évidemment pour les "écolos" qui se battent ridiculement pour une friche de qqes hectares parce qu'avec eux tout doit devenir dogme, pour les politiques, pour les banques et leurs fonds d'investissement, pour les économistes qui n'ont pas de modèle assez fin pour évaluer l'impact de la rénovation du bâti sur le budget des ménages. En fait, il n'y a aucun plan holistique, stratégique et cohérent pour gérer le problème et prioritiser les thèmes. Avec ça, il est difficile de faire adhérer les populations.
Le problème avec ces théories c'est que l'électeur regarde avant tout son portefeuille et sa qualité de vie, et ça il faut en tenir compte. C'est le problème avec ces experts et les écologistes : comme ils ont constamment le nez sur les problématiques environnementales ils ont tandence à oublier que pour le reste de la population il y a aussi d'autres priorités: pouvoir acheter un logement ou une voiture à un prix raisonnable, pouvoir partir en vacances, vivre dans un pays sur et respectueux des libertés individuelles etc...
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