La chercheuse Carole Gomez sur la Coupe du monde: «On n’a jamais eu une telle multiplication de polémiques»
Boycott, brassards, droits humains et environnement… La chercheuse Carole Gomez estime que les institutions sportives internationales doivent se lancer dans une réflexion de fond pour répondre aux grands défis actuels.


Assistante diplômée en sociologie du sport au sein de l'Institut des sciences du sport de l'Université de Lausanne et directrice de recherche associée à l'IRIS, Carole Gomez est l’une des meilleures connaisseuses des dynamiques des institutions sportives. A l’orée de la compétition, elle livre son analyse de ce Mondial comme aucun autre.
Comment expliquez-vous la réponse tardive de la Fifa sur ce brassard, pourtant arboré dans des compétitions UEFA ? Cède-t-elle à une pression du Qatar ?

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir5 Commentaires
Harasser/ harceler le.s citoyen.s lambda; jour après jours; quelle que soient la noblesse (?) des buts poursuivis et en mettant tout le monde dans le même sac ... se révèle finalement peu fédérateur, voire contre-productif au risque même d’entraîner la révolte plutôt que l'adhésion ! C'est de la "psychologie élémentaire", mon cher Freud !
On n'a jamais ;-) vu le rapport Garcia
Étonnamment, les jeux olympiques de 2014 et la coupe du monde de 2018 n’ont quasi pas fait l’objet de polémiques. Pourtant, le choix du pays organisateur était loin d’être sain…
Serait-il possible d'engager des journalistes qui connaissent le français et ne bourrent pas leur article de fautes de style et d'orthographe?
En français correct, il faut bien poser la négation complète et ne pas se reposer sur la liaison "on + voyelle". Le titre s'écrit donc "on n'a jamais" et pas "on a jamais" !