Virginie Efira et Bouli Lanners raflent chacun un César
« La nuit du 12 », brillant polar de Dominik Moll, sort grand vainqueur de la 48e Cérémonie des César avec six trophées dont celui de meilleur film et meilleure réalisation.


Putain, je vis à Liège quand même ! C’est incroyable d’être là ! Merci je vous aime », lance Bouli Lanners, tout heureux de recevoir le César du meilleur second rôle pour son incarnation magistrale de flic dans La nuit du 12. Quelques minutes avant, c’est Dominik Moll qui était sur scène, entrant dans le cercle fermé des double césarisés comme meilleur réalisateur. Dans le paysage du cinéma français, Dominik Moll tient une place à part. Son premier court-métrage est inspiré d’une nouvelle de Bukowski, son premier long de Jean-Paul Sartre. Puis vient Harry, un ami qui vous veut du bien, thriller fascinant en compétition à Cannes en 2000 et auréolé de quatre César, dont celui de la meilleure réalisation.
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Le mot rafler me semble inadéquat.
C'est aussi mon avis.
Virginie Efira n en est qu au début d une grande carrière, qui si elle le souhaite sera internationale. Elle sait jouer une pléthore de personnages à force de travail, le tout avec modestie et joie de vivre.Une grande dame.Félicitation Madame
Une actrice et un acteur, excellents tous les deux, au jeu subtil, qui méritent largement cette consécration de leur talent.
Faut pas se leurrer : si les Belges triomphent en France, aujourd'hui aux Césars, hier aux Victoires de la Musique, c'est surtout parce que les Français ne font plus rien de bon depuis vingt ans.