Pour Elio Di Rupo, il n’y a pas lieu de s’inquiéter : « Si par malheur certains devaient être transférés du chômage vers les CPAS, l’Etat fédéral s’est engagé dans l’accord de gouvernement à payer les indemnités ».
Mais pas question de revoir la mesure, dit le Premier ministre, pressé sur sa gauche par la FGTB, mais aussi le PTB. Sur le mode, sans les socialistes, ce serait pire (air connu), il a justifié : « Il y avait durant les 541 jours de négociations gouvernementales la volonté de plusieurs partis flamands de dire ‘on paye les allocations de chômage pendant 2 ans et puis terminé’. On est très loin de cela. Il a fallu faire des compromis, mais surtout il y a la volonté de sortir le jeune de sa situation. L’essentiel pour cela, c’est la création d’activité. »